Il est né à Trujillo, province de Cáceres (Espagne), où il habite jusqu’à l’âge de 15 ans. Il s’installe par la suite avec sa famille à Madrid.
Il fait des études en lettres, littérature, latin et grec classiques.
Déjà très jeune, il s’intéresse beaucoup à la littérature et à la poésie.
Il fait des récitals et, avec l’intention de publier un livre, il écrit toute une série de poèmes.
En ce temps, il est cofondateur de la revue culturelle poétique « El Pífano ».
Il fait des études à l’École royale d’Art dramatique de Madrid (spécialité direction artistique).
Il obtient un diplôme de maître-artisan et de restaurateur d’art émis par l’École d’art royale de San Fernando (Madrid).
En visitant l’atelier d’un ami peintre, il découvre dans sa bibliothèque pour la première fois une anthologie de l’œuvre complète des principaux peintres contemporains, il reste impressionné et garde surtout en son souvenir :
Cézanne, Monet, Matisse, Picasso, Chagall et Kandinsky. C’est là qu’il réalise la véritable signification et l’importance de la peinture. C’est ainsi, qu’il découvrit que le lyrisme poétique peut être aussi bien représenté par l’expression écrite que par le dessin et la couleur.
À ce moment, il commence à peindre. Il réalise sa première série de dessins et de peintures à l’huile. Sa démarche a été, depuis le début, très personnelle et autodidacte. Il réalise sa première exposition à la Galerie Athenée de Madrid avec une série de petits tableaux et de dessins du genre figuratif surréaliste.
Par la suite, il fait la connaissance à Madrid du renommé sculpteur espagnol Pablo Serrano Aguilar, oncle de sa femme, qui l’initie aux principes de la sculpture.
Il s’établit à Montréal où il vit depuis ce temps.
Du commencement, il réalise des études à temps partiel de soir à l’École de Beaux-arts de Montréal : dessin, couleur et modelage.
Il s’inscrit à l’Université de Québec à Montréal (UQAM) au cours de sculpture en pierre, moulage en plâtre, métal et forge, et en techniques de gravure à l’eau-forte.
Il fait un stage privé en vitrail artistique.
Il étudie à l’Université Concordia de Montréal, département de sculpture, dans les techniques suivantes : métal, bois, plâtre, céramique sculpturale ainsi que la poterie, l’impression lithographique et le dessin expérimental.
Il reste toujours à l'affut des nouvelles informations et connaissances qui puissent l’aider à visualiser et à concrétiser sa nouvelle conception de l’esthétique picturale. Concepteur de «l’action michromatrixte», réalisateur de la peinture «thermodynamique» et recherchiste dans le sens métaphorique et symbolique des nouvelles actions épigénomiques. Ses sources principales d’inspiration dans le visuel et la perception sont : l’astrophysique, la physique atomique et moléculaire, principalement le thermodynamisme et la biologie moléculaire, en passant par la nouvelle imagerie de l’électronique réelle ou virtuelle et une possible et future vision optique de la matière quantique.
À droite « The bioépigénomic Great Duck » ->
À part quelques expositions en groupe à Madrid, une fois à Montréal, dans le cadre de ses études, il réalise aussi quelques expositions à la Galerie de l’Université Concordia.
Il participe à la deuxième biennale nationale de céramique à Trois-Rivières, Québec, où l’une de ses œuvres est sélectionnée comme finaliste et fait un parcours d’expositions à Québec, Montréal et Toronto.
Il expose à la Steward Hall Art Gallery.
Il se présente à une exposition concours à la Poterie d’art de Bonsecours à Montréal. Il est sélectionné, et quelques-unes de ses pièces sont exposées.
En 1989, il expose une série importante de sculptures à la gallérie Médicis à Montréal.
Il croit qu’actuellement, il existe un grand écartement que la peinture à la façon traditionnelle proprement dite ne remplit pas et qui ne s’accorde pas avec le gigantesque progrès des nouveaux avancements scientifiques et technologiques de ces derniers temps. Dans le sens que, selon lui, un artiste peut et doit absolument utiliser et se servir de toutes ces nouvelles connaissances que le progrès met entre ses mains à la condition qu’il garde absolument le contrôle humain dans toutes ses conditions.
C’est ainsi que depuis les années 2000, il prend la décision – même au péril de risquer sa carrière artistique et de devenir un inconnu dans le monde des arts -, de s’isoler dans son atelier-laboratoire à Saint-Bruno, jusqu’à ce qu’il trouve de nouveaux moyens qui lui permette d’entrer dans la matière élémentaire. Il commence à étudier et à apprendre les bases de nouvelles connaissances scientifiques, particulièrement la physique et l’astrophysique, dans la croyance que celles-ci pourraient l’aider dans sa nouvelle conception de la peinture.
Il commence alors une nouvelle période qu’il appelle peinture michromatrixtique ou thermodynamique.
Il décide en 2016 de sortir de son isolement avec l’intention cette fois-ci de faire vraiment connaître son œuvre, de la répertorier et dans un futur très proche d’écrire le manifeste de sa nouvelle peinture.